La matrice l'âme. Tome 26. La nudéité de la Chair divine

Le souzenélisme nous éclaire plus sur la multidimensionnalité du corps et permet à la transrationalité-résille d'intuitionner les dimensions astrale et éthérique affinées aux causes et aux conséquences de la structure de l'Esprit divin qui s'y rapportent, exerçant sur l'humain une action réciproque. Annick de Souzenelle nous parle de Lois ontologiques à ce propos. Quant à la Chair divine, cette partie mystérieuse de nous-mêmes qu'Est l'Ombre de Dieu, elle est notre Potentiel féminin intérieur, notre Adamah qui dans sa fonction matricielle laisse la place à "Ishah", le Feu. Mais Ishah n'est pas une femme biologique, c'est le trou noir de notre conscience. Ishah est cet autre «côté» d'Adam, et partant de tout être humain. C'est à cela que tient le mystère du retournement de l'Homme vers Dieu et de l'Homme à lui-même pour se verticaliser dans ses énergies en se révélant Je Suis- mais pas au sens de Descartes. La Chair divine nous met le nez sur le Sens de notre vie et des conséquences qui en découlent socialement. Dès lors, l’éveil de la faculté causale révèle-t-il l’existence d’un monde nouveau à l’intérieur du corps, et lorsque l’homme devient capable de comprendre sa signification?